Article très intéressant d'Anaël Aubry expert sur lepape-info : La championne olympique de triathlon Gwen Jorgensen, future championne olympique de marathon. ?
Pour le coureur de Trail Running, l’élaboration de sa stratégie nutritionnelle avant l’épreuve, lors de l’épreuve et pendant la phase de récupération est un élément clef de la performance. Un article bien fait qui donne des conseils et des alternatives intéressantes pour trouver les bons choix puisque nous avons chacun nos particularités.
Vous pouvez lire ici son article et avoir ma vision des choses avec le coté pratique là. Pour ma part je préfère utiliser le diagramme de Poincaré (Standard Deviation 1 SD1) qui permet par un nuage de points de visualiser la mesure des intervales R-R.
Vous pouvez aussi retrouver la polémique sur les méthodes de mesures et leurs interprétations sur le forum Kikourou.
La vitesse de course dépend de 2 facteurs, la cadence et la force. En deçà de 20 km/h le facteur limitatif est la force, puis au delà de 20km/h, il va falloir conjuguer cadence et force pour courir plus vite. Ces vitesses ne peuvent donc être atteintes qu'avec une musculature adaptée.
De plus à chaque impact, nous subissons un écrasement de 3g (soit pour un athlète de 70 kgs => 210 kgs). Un athlète pas suffisamment adapté musculairement va ralentir sa vitesse par manque de force et n'atteindra que rarement sa VO2 Max ou alors pas suffisamment longtemps. La musculation est alors indispensable pour progresser et dépasser cette première limitation physiologique.
Il ne faut pas oublier que le muscle se compose de 2 types de fibres et que pour courir vite, il faut développer les fibres de types IIb (les mécanismes d'entrainement en fonction de la typologie des fibres).